Club Bilderberg

Cette Organisation secrète fut créée en mai 1954 à l’hôtel de Bilderberg à Oosterbeek, en Hollande, par le prince Bernard des Pays-Bas. Elle est composée de 120 magnats de la haute finance d’Europe de l’Ouest, des Etats-Unis et du Canada. Ses buts principaux, formulés par le prince Bernard, sont l’institution d’un gouvernement mondial d’ici l’an 2000 et d’une armée globale sous le couvert de l’ONU. On l’appelle aussi le « gouvernement invisible ».

Un comité consultatif composé d’une commission de direction (avec 24 Européens et 15 Américains) décide des personnes à inviter à leurs rencontres. Johannes Rothkranz écrit que seuls sont invités ceux qui ont fait preuve d’une indéfectible loyauté dans les intrigues menées par les Rockefeller et les Rothschild. toutes les personnes présentes ne sont pas des « initiés », elles peuvent être aussi seulement des représentants d’un groupement d’intérêts ou d’autres personnes.

Tous les ans, les membres se réunissent lors d’une conférence. Actuellement le nombre de ses membres est environ de 200. Parmi eux, des hommes politiques, des industriels, des banquiers et des responsables de l’armée et des services secrets. Le groupe des Bilderbergs est organisé à partir de trois niveaux :

• Bilderberg Advisory Committee: c’est le cercle le plus central et il ne regroupe qu’ une dizaine de personnes. Ce sont ces personnes qui sont à l’ origine de la manipulation du monde. Ils sont les seuls à connaître les vrais objectifs du groupe.
• Le Steering Committee: il est constitué de d’environ  35 membres. Ce groupe moins fermé que le précèdent ne connait pas totalement les réels buts de l’ orgarnisation.
• le « cercle extérieur »: il comprend le reste des membres. Ils ne connaissent qu’ une partie du stratagéme mis en place par le premier groupe.

Aujourd’ hui, les débats initiaux ont été réorienté: ils organisent et planifient les guerres, les crises économiques, les fluctuations boursières…

Ce qui reste le plus mystérieux, c’est que ce groupe organise leur conférence à l’abri de tous les regards. C’ est à dire, que aucune conférence de presse n’a lieu, les discussions se tiennent à    huis-clos, et aucun des membres n’ a le droit de prendre des notes ou bien de faire part à la presse du débat qui s’ est tenu.